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Robuste viril, incorruptible, Connery arbore une cinquantaine magnifique dans ce classique de la science-fiction réaliste, particulièrement apprécié des fans du genre. Guillaume de
Vendredidernier, au cinéma Gérard-Philipe de Wittenheim, les trois premiers épisodes ont été projetés en présence des figurants. Télévision. Un western tourné à Staffelfelden
Tum'étonnes avec ce genre de production. Merci pour tes Livres, films et documentaires > Thaïlande. 28 fév. 2011 à 16:35 de Romain2706: 2 : 28 fév. 2011 à 16:53 de Romain2706 » Tournage du prochain Star Wars à Ouarzazate. Pour l'instant tournage du dernier fim de Clint Eastwood. C'est l'occasion d'aller visiter les studios si
AvecFernandel, Jean Gaven, Pierrette Bruno. Félicien est le boulanger de Valorgue. Son fils Justin, qiu courtise Françoise, la fille de l'épicière, une Italienne, est parti au service militaire. Françoise, en voyage en Italie, revient au bout de dix mois, avec un bébé dans les bras. Félicien refusant de croire à la paternité de son
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14 octobre 2009 par - DVD Une flopée de westerns vient de sortir tant en France qu’aux USA, à des prix très abordables. A tout seigneur, tout honneur, commençons par L’HOMME DE NULLE PART JUBAL de Delmer Daves qui coécrit le scénario. Ce premier volet d’une trilogie avec Glenn Ford est une transposition d’Othello dans les paysages somptueux de Jackson Hole où Rod Steiger joue voire surjoue Iago. J’ai revu le dvd américain et j’ai été très sensible à la grande variété des paysages, à la manière magistrale dont Daves les intègre à l’action, aux émotions des personnages. Il y filme pour la première fois l’émouvante Felicia Farr. Charles Bronson y est aussi spectaculaire que dans L’AIGLE SOLITAIRE. A découvrir. A découvrir également LA MISSION DU COMMANDANT LEX d’André de Toth que j’aime davantage à chaque vision. Ce western d’espionnage est superbement dirigé regardez la scène du tribunal et donne à Cooper des moments anthologiques. LA DERNIERE CHASSE m’a passablement déçu alors que j’ai été transporté par une nouvelle vision de DEADLINE USA, hélas inédit en dvd malgré les audaces scénaristiques, les bonnes intentions. J’avais gardé un bon souvenir de ce western écologique, de ce plaidoyer contre le massacre des bisons que Brooks rapprochait du massacre des Indiens. Mais le scénario m’a paru assez lourd et démonstratif et surtout on a l’impression que le film n’est pas monté comme il a été tourné. Il y a des raccords très étranges qui brouillent toute progression dans l’espace, des rapports de plans lourds et maladroits, défauts que l’on ne sent jamais dans ELMER GANTRY ou LES PROFESSIONNELS. Subsistent de belles séquences comme cette bagarre de saloon ni euphorique ni libératrice, désolée plutôt avec ce beau plan de Stewart Granger ivre, un cigare à la bouche, un tesson de bouteille à la main qui fit délirer Jacques Rivette au Studio Parnasse. AU DELÀ DU MISSOURI est vraiment un film impressionnant. Dans son utilisation de paysages, d’extérieurs somptueux et magnifiquement filmé. Dans ses partis pris notamment la volonté de faire parler tous les indiens dans leur langue des décennies avant DANSE AVEC LES LOUPS. Et de manière plus compliquée parce que Wellman ajoute le français que parlent les trappeurs canadiens. Adolphe Menjou, qui joue Pierre, passe plus de la moitié de son rôle soit à parler français soit à traduire ce que disent les indiens dans l’une ou l’autre des langues. Il est en effet le traducteur de Gable, lequel ne peut communiquer aux chefs indiens ou sa future épouse qu’à travers un interprète. Autres détails pittoresques, John Hodiak, un trappeur censé connaître plusieurs dialectes a de nombreuses tirades en pied noir et tout le monde chante Alouette, gentille alouette en français quand vient le tour de Gable, il a un accent prononcé, mais qui est justifié On imagine la perplexité des dirigeants du studio devant ces échanges qui nécessitent tous des sous-titres.. On sent d’ailleurs que le film a été remonté et coupé il ne dure que 76 minutes et affublé d’un commentaire hyper insistant qui ne colle pas avec le style dépouillé, elliptique sauf dans les séquences comiques de Wellman. Je suis sûr que cette voix-off a été conçue au montage et elle est souvent pléonastique, soulignant des détails qu’on a compris. Comme dans CONVOI DE FEMMES, Wellman laisse de côté certains moments qui se déroulent en partie hors champ ou sont brusquement coupés ou traités en quelques secondes, ce qui provoque une incompréhension chez certains internautes qui regrettent le morceau de bravoure traditionnel. Je ne crois pas que ce soit dans ces moments que le film a été mutilé car ils semblent en symbiose avec d’autres scènes dans de nombreux films du cinéaste. Il reste néanmoins un grand nombre de plans superbes. Le combat final entre Gable et Ricardo Montalban est impressionnant et l’intrusion de la violence souvent surprenante. Gable est remarquable et souvent touchant. Je voudrais bien savoir ce qui s’est vraiment passé au montage. J’ai lu que le film avait été autant mutilé que RED BADGE OF COURAGE de Huston Quel plaisir en revanche de revoir un film qu’on a adoré à 18 ans et de constater qu’il est encore meilleur que dans votre souvenir. C’est le cas de WESTWARD THE WOMEN CONVOI DE FEMMES. Il s’agit d’un des chefs d’œuvres de Wellman et du western. Il prend le contre-pied d’une des audaces d’OX-BOW INCIDENT. À la quasi-absence de femmes, il substitue au contraire une pléthore de personnages féminins décrits avec le minimum de sentimentalisme, réduit de manière drastique le rôle des hommes, à l’exception de John McIntire, excellent, du savoureux personnage du cuisinier japonais et de Robert Taylor. Ce dernier est utilisé ici de manière très convaincante ses plans de réaction quand il découvre les femmes sont cadrés avec une grande intelligence. On retrouve magnifiées, toutes les qualités de Wellman – ton dépouillé, direction d’acteurs et d’actrices extrêmement sobre Denise Darcel, très sensuelle, est excellente tout comme la gigantesque Hope Emerson, travail impressionnant sur les paysages – toutes les figures stylistiques ou narratives qui portent sa marque longs travellings qui suivent deux cavaliers de dos, plongées spectaculaires. J’avais gardé depuis la première vision au California, un souvenir vivace des plus beaux plans et de certaines séquences les survivantes lançant les noms des femmes qui ont péri, noms que l’écho reprend, la mort d’un enfant, filmé de façon foudroyante. J’ai redécouvert des moments comme cet accouchement dans un chariot que les femmes soutiennent. Séquence ultra wellmanienne montrant que l’individu doit se fondre dans la collectivité. L’action est souvent traitée hors champ une bagarre très importante est aux trois quarts occultée derrière des chariots, des obstacles divers ; l’attaque des Indiens qu’on attend depuis le début se déroule hors champ. Robert Taylor et Denise Darcel l’entendent, mais arrivent trop tard. Wellman privilégie, ici comme ailleurs, les conséquences d’une action ces panoramiques qui recadrent les femmes qui ont été tuées. Et, cerise sur le gâteau, ce western bénéficie d’une absence quasi totale de musique, décision évidente de metteur en scène. VAQUERO de John Farrow sorti dans la même collection, frappe par sa beauté visuelle. Majestueuse utilisation des paysages ce grand panoramique découvrant le rassemblement des vaqueros, cadres extrêmement soignés, décors empreints d’esthétisme le saloon où se déroule le règlement de comptes final. Le scénario de l’excellent Frank Fenton LE JARDIN DU DIABLE est complexe, fouillé, flirtant comme souvent chez Fenton avec la fable morale. Son dénouement, vraiment fort, évite tous les compromis. Robert Taylor et Ava Gardner sont bien utilisés, mais Anthony Quinn, étant de brio et de sobriété, vole littéralement le film et son interprétation rachète le choix douteux de Kurt Kasznar a-t-il jamais joué un rôle correspondant avec sa vraie nationalité ?. Ce dernier film comme LA RIVIÈRE D’ARGENT de Raoul Walsh, western sur la volonté de puissance qui, dans mon souvenir, avait des résonances shakespeariennes, une gravité tragique. Je n’ai revu que le début, éblouissant de rythme et d’invention. En zone 1 On peut commander en zone 1 toi à un prix modique le DVD de THE TRAIL OF THE LONESOME PINE. Le transfert est excellent et j’ai aimé revoir le film que je trouve riche et passionnant quant au talent d’Hathaway. Il utilise brillamment le technicolor qui est d’une beauté à couper le souffle même si certains maquillages sont forcés. C’est le premier film utilisant ce procédé qui fut tourné en extérieurs. Qui sont d’ailleurs somptueux, admirablement intégrés à l’action. Lyriques ou dépouillés lors de certains moments de violence qui se déroulent souvent parmi des rochers, dans des escarpements qui en renforcent le côté dramatique. Une fois de plus, ce qui frappe chez Hathaway, c’est la netteté aiguë, souvent acérée du découpage qui lui permet de brider le sentimentalisme de cette histoire, déjà gommé dans le scénario de Grover Jones pour Hathaway le meilleur scénariste avec qui il ait travaillé avec Wendell Mayes. Et dans la direction d’acteurs chez les personnages âgés notamment. On a un peu de mal au début à accepter les rapports Mac Murray Fonda dix ans après, on aurait inversé les rôles mais en fin de compte, je me demande si le choix n’est pas très judicieux même si Mac Murray domine Fonda et paraît plus intégré au décor. A noter la manière très moderne dont Hathaway termine abruptement certaines séquences, en apparence classiques. Tous les plans de train, d’entrée en gare sont formidables le retour de Sylvia Sydney et il se sort brillamment des rapports extérieurs intérieurs, les utilisant pour dramatiser une sortie, un affrontement. Et il se permet des échappées sentimentales comme ces plans du petit oiseau qui se pose sur différents meubles avant que la caméra panoramique pour recadrer le visage de Sylvia Sidney. On peut regretter deux ou trois gags appuyés avec Nigel Bruce et le petit Bobbie, une bagarre filmée à l’accéléré et la construction dramatique prévisible. Le premier affrontement avec Fonda, en plans larges avec amorce, est spectaculaire. Il est intéressant de comparer l’ouverture de ce film et celle de Sheperd of the Hill film châtré par le studio selon John Wayne qui se déroule dans les mêmes paysages et avec le même genre de personnages. Dans les deux films qui mêlent violence et fable morale, l’héroïne féminine échappe aux conventions. STRANGER ON A HORSEBACK VCI entertainment avait été une des plus heureuses surprises de la rétrospective Tourneur. On avait découvert un film original, d’une légèreté aérienne qui s’impose dès les premiers plans Joel McCrea chevauchant en lisant en livre de loi passe près d’une tombe qu’on est en train de creuser. Pas de dialogue… juste un léger travelling latéral coupé par un plan serré d’une femme, plan inattendu qui s’enchaîne sur un plan large où McCrea, à droite du cadre, s’éloigne de la tombe. Un peu plus tard, un chat roux prend une place importante dans le bureau du marshal et sa présence décale les scènes. On le verra sauter du bureau quand trois hommes font brusquement irruption pour délivrer Kevin McCarthy. Ce dernier joue le rejeton du potentat local, rejeté violent, dégénéré, tyrannique et pourtant charmeur qui semble débarrassé de tous les clichés qui alourdissent ce personnage archétypal. Et la manière dont McCrea qui refuse de se servir de ses armes, le réduit à l’impuissance est irrésistible. Il se débarrassera de la même manière d’un homme de main qui le provoque après un échange jubilatoire l’homme l’arrose quand il passe près d’un abreuvoir. McCrea se contente de dire il fait chaud ». Quand il revient sur ses pas, l’autre l’arrête je n’ai pas aimé ce que vous avez dit » – J’ai dit qu’il faisait chaud » – j’ai pas aimé le ton sur lequel vous l’avez dit ». Le ton, le traitement sont constamment inhabituels. McCrea, juge itinérant, découvre presque accidentellement qu’il y eu un meurtre et commence à souligner toute une série d’actes délictueux. Tourneur filme tout cela de manière feutrée, presque dédramatisée les rapports entre le juge et John Carradine, procureur corrompu qui essaie de sauver les suspects, sont extrêmement amusants et dégraissés des effets comiques redondants. Ce film fut tourné en Ansco Color, procédé étrange qui semble bichrome et donne des teintes étranges le dvd n’est pas trop mal restauré, mais la copie vue à Beaubourg me semblait plus contrastée qui dans les plans larges ne sont pas désagréables. Tourneur en tire quelques effets heureux. Comme toujours chez VCI, pas de sous-titres. MEN IN THE WILDERNESS LE CONVOI SAUVAGE est un chef d’œuvre méconnu qui est sorti avec sous-titres français en double programme avec THE DEADLY TRACKERS de Barry Shear dont j’ai gardé un souvenir détestable bien qu’il ait été commencé par Fuller. Les deux œuvres se partagent la même vedette, Richard Harris qui trouve dans MEN IN THE WILDERNESS l’un de ses meilleurs rôles. Il joue un guide, un trappeur qui accompagne l’expédition du Capitaine Henry interprété par John Huston. Attaqué par un ours, il est laissé pour mort et abandonné par Henry. Sarafian nous raconte comment il va littéralement renaître, réapprendre à marcher, à survivre et sa lutte pour la vie qui nous vaut de fulgurants plans de nature thématique qui anticipe sur INTO THE WILD sans le contexte hippie se double de son désir de vengeance. On pense parfois à MOBY DICK. Photographie inspirée, épique de Gerry Fischer qui culmine dans ces plans de ce bateau que l’on pousse, que l’on tire à travers ces paysages de neige. Un des plus beaux moments, insolite, original, est cet accouchement d’une Indienne auquel assiste Richard Harris. La manière dont Sarafian filme cette scène et d’ailleurs les Indiens, est exemplaire. À DECOUVRIR ABSOLUMENT. Tout comme L’HOMME SAUVAGE THE STALKING MOON – également sorti en zone 2 en mars dernier de Robert Mulligan qui est mort fin 2008 dans un semi anonymat. C’était pourtant un cinéaste sensible, attachant qui signa plusieurs œuvres personnelles et originales comme BABY THE RAIN MUST FALL, écrit par Horton Foote, LOVE WITH A PROPER STRANGER, TO KILL A MOCKINGBIRD DU SILENCE ET DES OMBRES belle adaptation de l’émouvant roman de Harper Lee qui vient d’être réédité sous le titre Ne tirez pas sur l’Oiseau Moqueur. THE STALKING MOON est un western méconnu, une variation sur le thème des femmes enlevées par les Indiens qui doivent affronter la civilisation. Eva Marie Saint est bouleversante dans ce rôle. C’est aussi un western fondé sur l’angoisse, la peur latente. Les protagonistes sont sans cesse menacés par un ennemi impitoyable et invisible. On ne le devinera que dans les derniers plans. Du coup, on partage l’effroi des personnages, on scrute comme eux les paysages… J’aurais aimé savoir si THE STALKING MOON avait été influencé par l’approche que Val Lewton aidé surtout par Jacques Tourneur imposa dans le film d’horreur qu’il renouvela. On y cachait tout ce que le cinéma d’ordinaire nous montre. Charles Lang prestigieux opérateur de studio démontre ici qu’il est tout aussi inspiré par les décors naturels. Et l’importance que Mulligan donne aux sentiments, aux émotions, à tout ce qui est suggéré est stimulée par le scénario condensé, le dialogue épuré, laconique d’Alvin Sargent d’après une adaptation du grand Wendell Mayes. Sortons du western pour saluer un autre Mulligan, UP THE DOWN STAIRCASE ESCALIER INTERDIT, toujours écrit par Alvin Sargent qui annonce de manière incroyablement prémonitoire ENTRE LES MURS de Laurent Cantet. Un double programme serait tout à fait passionnant, même si le Mulligan paraît plus scénarisé. Le regard porté sur l’école, sur les minorités, sur les injustices est le même et UP THE DOWN STAIRCASE annonce tout ce qui arrivera 25 ans plus tard dans l’école française sous titres français. Sandy Dennis est remarquable. Sorti d’un coffret distribué par Warner sous-titres français qui comprend deux excellents Sturges, ESCAPE FROM FORT BRAVO magnifique utilisation de l’espace et des paysages et THE LAW AND JACKE WADE qu’André Glucksmann jugeait Hégélien. Ajoutons pour faire bonne mesure le très intéressant western de Robert Parrish SADDLE THE WIND avec Robert Taylor et surtout Julie London et John Cassavetes. Charles McGraw est impressionnant dans la séquence d’ouverture. Enfin, cerise sur le gâteau, Sony Pictures a enfin sorti avec sous-titres français un coffret consacré aux Boetticher avec Randolph Scott, à l’exception du sublime 7 HOMMES A ABATTRE. Je me suis déjà régalé à revoir le magnifique THE TALL T d’une rare violence et où Maureen O’Sullivan campe le plus intéressant personnage de femmes de cette série, avec Gail Russell dans 7 HOMMES. Scott, dans les premières scènes sourit beaucoup et joue avec une décontraction absente des autres œuvres. Ce qui rend l’irruption de la violence encore plus forte, plus troublante. COMANCHE STATION, RIDE LONESOME sont tout aussi remarquables avec cette flopée de hors la loi savoureux, souvent minables, illettrés, obsédés par les femmes et qui ont dû beaucoup inspirer Quentin Tarentino. Transfert magnifique et analyse parfois sommaire de Clint Eastwood et Martin Scorcese. Nous étions trop sévères dans 50 ANS DE CINEMA AMERICAIN pour ARROWHEAD LE SORCIER DU RIO GRANDE écrit et réalisé par Charles Marquis Warren que j’ai revu avec un grand plaisir. On soulignait, à juste titre, l’interprétation spectaculaire de Jack Palance son arrivée dans le film est mémorable tout comme le moment où il retrouve son père mais il aurait aussi fallu louer Charlton Heston aussi puissant que dans NAKED JUNGLE qui jamais n’édulcore, n’affadit la violence noire, la rage haineuse du personnage. Certes le discours du film peut paraître quelque peu univoque. Tous les Apaches sont cruels et l’on ne peut leur faire confiance surtout pas à ceux qui semblent civilisés l’une des premières actions de Palance/Toriano est d’abattre son frère de sang, le scout indien est un traître. Mais néanmoins, le propos témoigne d’une certaine complexité, supérieure à la moyenne des westerns, évite le manichéisme noble sauvage méchant civilisé » ou l’inverse, les Apaches sont ce qu’ils sont et font ce qu’ils font That’s what they do » et pareil pour les blancs, militaires ou autres. Tout le monde a ses raisons, bonnes ou mauvaises et souvent les deux selon le point de vue. Heston qui a vécu avec les Apaches dit bien comme Lancaster dans ULZANA’S RAID FUREUR APACHE qu’il ne déteste pas les Apache, simplement qu’il les connaît mais le film n’atteint pas la complexité de l’Aldrich dont il constitue une sorte d’ébauche. Le rapport avec ULZANA’S RAID est plus sensible, comme nous le soulignions, dans le beau roman de Burnett. Je n’irai plus jusqu’à dire que Charles Marquis Warren le trahit honteusement. Plutôt qu’il l’édulcore, l’affadit. Le livre est essentiellement une longue et aride traque menée par le héros et un groupe de scouts indiens. On ne voit jamais Toriano contrairement au film, sauf quand on le tue. Et pourtant la violence du ton détonne et étonne. Warren recycle certaines idées de l’excellent et original LITTLE BIG HORN un soldat cloué contre un arbre par trois flèches, les deux ou trois plans de massacre filmés à la grue, Heston qui noie un Apache de ses mains. La photo couleur pourtant bonne de Ray Rennahan rend ces moments moins cinglants que le noir et blanc austère de BIG HORN. On retrouve aussi des péripéties d’ONLY THE VALIANT les soldats qui se font tuer un par un dont Warren avait écrit le scénario. Ed Bannon dans le livre, il s’appelle Grein, ce scout inspiré dit le dernier carton d’Al Sieber le mystérieux texte qui ouvre le film ne prend qu’ici tout son sens est un personnage récurrent du cinéma américain l’homme d’action, de guerre qui connaît le terrain et qui a souvent, presque toujours raison contre les bureaucrates, les humanistes. C’est le petit cousin du sergent Croft des NUS ET LES MORTS, de Montana dans COTE 465, du Lancaster de ULZANA’S RAID. La franchise du ton est à porter au crédit du film. Elle traduit une réalité historique, idéologique que certains westerns progressistes n’ont pas osé aborder. Des personnages comme Bannon ont dû peupler l’Histoire de l’Ouest. On retrouve d’ailleurs Al Sieber sous les traits de John McIntire dans APACHE d’Aldrich, tourné la même année et où il est montré de manière plus sympathique. Robert Duval le joue dans l’intéressant GÉRONIMO de Walter Hill et Burt Lancaster interprète un personnage ouvertement basé sur Sieber dans ULZANA’S RAID. Etudier ces 4 films est une bonne approche transversale du genre. Ajoutons que Warren montre deux ou trois fois l’étroitesse d’esprit, l’obstination stupide de certains officiers et un sens de l’honneur chez les Apaches. Mais contrairement à Aldrich, Mann, Walsh, il n’ouvre jamais son propos, ne le met pas en perspective, ne le soumet à aucune contradiction. Et pourtant il s’en faut de peu pour qu’une autre signification apparaisse grâce d’abord à Jack Palance. Son personnage ressemble à ces révolutionnaires qui sont revenus galvaniser leurs peuples après avoir fait des études chez le colonisateur. Et la manière dont Warren commence à filmer ce qui s’apparente à une déportation pourrait, avec un très léger écart de perspective, s’apparenter à BRONCO APACHE Palance dénouant ses cheveux est inoubliable dans cette scène. Il y a aussi plusieurs échanges qui ont un côté fullerien les dialogues sont d’ailleurs assez efficaces et l’excellent Brian Keith joue un personnage d’officier humain assez proche de celui du JUGEMENT DES FLECHES. Et puis c’est un des derniers westerns un des derniers films en 137 1. et j’aime de plus en plus revenir à cet aspect ratio. Après la réévaluation d’ARROWHEAD, déception avec la vision de HELLGATE dvd VCI sans sous-titres avec 5 autres titres dont PANHANDLE de Lesley Selander variation assez biscornue sur THE PRISONNER OF SHARK ISLAND. Toute une partie du film possède des défauts que l’on retrouve dans plein de films de Marquis Warren décors approximatifs comme dans 7 ANGRY MEN ou TROOPER HOOK ou bâclés dans le premier tiers, la maison de Sterling Hayden, le tribunal militaire, raccords médiocres, découpage souvent très maladroit, utilisation de l’espace peu effarante des personnages qui devraient être vus de très loin surgissent tout à coup, des indiens apparaissent au milieu d’un plan. Pourtant le lieu où se passe une partie du film parait prometteur cette prison dans une immense grotte au fond d’un canyon et parfois Warren en tire quelques beaux effets une bataille dans une tempête de sable, la mort d’un prisonnier qui essaie d’escalader une paroi très en pente. On est certes dans un lieu insolite mais on ne sent ni l’usure du temps, ni les blessures, ni la fatigue. L’arrivée du héros qui surprend des civils réfugiés derrière une barricade est filmée comme dans les plus mauvaises séries Z dans un décor absolument nul. L’interprétation est très pauvre quand on la compare avec LITTLE BIG HORN ou ARROWHEAD. Hayden est spécialement maladroit malgré les renforts de barbes et de poussière mal collée et James Arness n’est guère plus convainquant. D’autres petits rôles sont totalement falots. Le seul à tirer vers la fin son épingle du jeu sont Ward Bond et Joan Leslie. Westerns rares et curiosités Je viens de voir PANHANDLE sorti par VCI sans sous-titres écrit et produit par Blake Edwards et John C Champion. Edwards joue le rôle d’un jeune tueur à gages, Floyd, qui dit au héros vous être un homme important, Mr Sands. Très poli envers les gens célèbres ». Dans la distribution, on trouve déjà Dick Crockett que l’on retrouvera dans nombre de films ultérieurs d’Edwards. PANHANDLE est une bonne surprise, surtout venant de Lesley Selander. Le découpage m’a paru moins routinier que d’habitude, dans ce que je connais de lui ; les extérieurs filmés à Lone Pine, sont bien choisis, avec un grand nombre de plans larges, soigneusement cadrés. Certains moments nocturnes, une embuscade en particulier, témoignent d’une vraie recherche visuelle qui évoque certains de Toth. Et le scénario dissémine ici et là de plaisantes et rafraîchissantes surprises Rod Cameron, lequel joue un peu comme Scott chez Boetticher, doit s’enfuir sans sa selle et passe son temps à essayer d’en retrouver une. Floyd vient le provoquer dans le saloon. On croit qu’on va avoir droit à l’habituelle bagarre mais Cameron lui lance son revolver dans le ventre, ce qui le cloue en deux et l’arrête net. On pense avoir échappé à la bagarre, mais elle éclate le plan suivant, dure très longtemps, les deux combattants passant même à travers la vitre du saloon et s’empoignant dans la rue, en pleine nuit. Sands raconte au jeune tueur médusé comment il s’est battu contre Billy Le Kid et se tait quand il en arrive au moment décisif. Floyd demande anxieusement Et qu’est ce qui s’est passé? » – Il m’a tué », répond Sands en quittant la table. Nous avons droit au plan final archétypal le héros s’éloigne vers l’horizon. Sauf qu’il est à pied et qu’il pleut des cordes. La pluie nous vaut un échange très amusant avec Reed Hadley Quand il pleut qu’est ce que vous faites » – Je vais à l’intérieur ». Tout cela porte la marque d’Edwards. Prologue inconnu et perdu d’un film de Leone Dans les bonus du dvd américain de A FISTFUL OF DOLLARS, on trouve un prologue filmé pour la distribution aux USA, surtout à la télévision, qui était destiné à donner une motivation morale aux meurtres commis par Eastwood. Lequel tuait plein de gens, sans remords ni explication. Ce prologue fut filmé au Mexique par Monte Hellman et joué par Harry Dean Stanton qui parle à une doublure d’Eastwood. Monte est interviewé et raconte qu’Eastwood aurait dit c’est curieux, je ne me souviens pas avoir joué cette scène ». Découverte marrante. Je ne comprends rien à la politique d’Universal et je ne vois pas ce qui a pu présider au choix de A L’ASSAUT DU FORT STARK de George Sherman, western platounet, sorti dans un transfert médiocre et un format discutable. La photo de William Daniels m’a semblé des plus routinières. J’avais été très heureusement surpris par les recherches, l’invention de la mise en scène de Sherman dans AU MEPRIS DES LOIS. Et dans d’autres film inédits en dvd, BLACK BART, WHISPERING CITY, DUEL DANS LA SIERRA, SWORD IN THE DESERT. Rien de tel ici. Le meilleur plan est celui qui suit immédiatement le générique. Le reste est routinier, dans des extérieurs monotones, peu excitants contrairement à ceux d’AU MEPRIS DES LOIS. Les personnages se dissimulent derrière des buissons squelettiques, face à deux cents indiens et tout est à l’avenant. Il n’est que de regarder le fulgurant début de A KING AND FOUR QUEENS de Raoul Walsh, avec ces fantastiques plans de chevauchée, ces surgissements sur une crête, ces descentes sur des à pics.
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Il s'inspire des anciens récipients à lait en acier et la finition de surface est réalisée à partir d'oxydes de titane qui donnent au bois une couleur 40 cm in.Diamètre 20 cm in.Matériaux et techniquesLieu d'originePériodeDate de fabrication2020Type de productionTemps de production estimé5-6 semainesÉtatAdresse du vendeurMilan, ITNuméro de référence1stDibs LU5240221470062Expédition et retoursExpéditionExpédition à partir de Milan, ItaliePolitique des retoursCet article ne peut pas être acheteur 1stDibs garantieSi l'article reçu ne correspond pas à la description, nous trouverons une solution avec le vendeur et vous-même. En savoir plusCertaines parties de cette page ont été traduites automatiquement. 1stDibs ne garantit pas l'exactitude des traductions. L'anglais est la langue par défaut de ce site propos du fabricantHands on Design"La qualité de l'artisanat, l'exclusivité du toucher humain, la créativité du design." Hands on Design est une marque basée à Milan. Fondée en 2015 par les deux designers Kaori Shiina et Riccardo Nardi, HoD produit et vend des objets décoratifs, de la vaisselle et des accessoires d'intérieur, fabriqués par des artisans de haut niveau, en provenance d'Italie et du Japon, et conçus par des designers internationaux. L'entreprise a une approche unique qui consiste à réunir deux traditions artisanales incroyablement riches, en leur donnant une nouvelle vie grâce à la créativité et à la force de communication que confère le design. Le développement de cette synergie a conduit à la création de produits exclusifs qui enrichissent le quotidien par leur beauté sensorielle et enchanteresse. La marque est intimement impliquée tout au long du processus de conception et de fabrication de la recherche de chefs-d'œuvre à la définition des projets, en passant par la direction artistique, afin de créer une collection contemporaine et propos du vendeurAucune évaluation pour le momentEmplacement Milan, ItalieCes vendeurs expérimentés font l'objet d'une évaluation complète par notre équipe d' en 2015Vendeur 1stDibs depuis 20208 ventes sur 1stDibsPlus d'articles de ce vendeurVase en bois tourné Grassland Short » fabriqué en ItaliePar Hands On Design, Setsu & Shinobu Ito, Lorenzo FranceschinisCe vase en bois de pin a été conçu par le couple Setsu&Shinobu Ito et réalisé à la main par le tourneur sur bois artistique Lorenzo Franceschinis pour Hands on Design. 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