10 arguments pour et contre le végétarisme
Unrégime végétarien réduit le risque de maladies dégénératives chroniques telles que l'obésité, les maladies coronariennes, l'hypertension, le diabète et certains types de cancer, notamment
Alimentation100 % végane : la fausse bonne idée pour sauver la planète. Si une réduction drastique de notre consommation de viande s'impose pour des raisons sanitaires et pour lutter contre
Depuisdécembre 2019, la loi Egalim rend obligatoire la préparation d’un menu végétarien hebdomadaire dans les cantines françaises pour une durée de deux ans. Cette loi a été votée dans l’objectif de végétaliser davantage les repas des enfants, pour répondre à des enjeux écologiques, économiques et nutritionnels.
Levégétarisme est un mode alimentaire qui exclut toute consommation d'animaux, donc viande, volailles et poissons. Végétarien : le top 10 des aliments pour remplacer la viande. Découvrez notre top 10 des aliments à privilégier quand on tourne veggie. Pourquoi privilégier les
Lesbonnes raisons de devenir végétarien Pour le bien-être animal évidemment. C’est celle qui m’anime le plus, donc je la mentionne en premier. Si vous êtes vraiment
Site De Rencontre Pour Ado Pour Trouver L Amour. Charles Danten a une triple formation universitaire en agronomie, en médecine vétérinaire et en traduction orientée vers la science et les études cliniques en médecine et en pharmacologie humaines. Il a pratiqué la médecine vétérinaire pendant dix-huit ans, dont dix à son propre compte. Il est l’auteur du livre à succès québécois, Un vétérinaire en colère. À la retraite mais toujours actif, l’autodidacte, journaliste citoyen et lanceur d’alerte Charles Danten se consacre à la recherche, à la rédaction et à la traduction d’articles pour son blogue, et divers médias alternatifs comme le magazine Le Harfang de la Fédération des Québécois de souche. Il nous adresse un texte polémique sur le végétarisme, que nous vous proposons de lire ci-dessous. Précision liminaire Il faut entendre dans ces pages le terme végétarien » comme un terme générique englobant tout régime à base de plantes y compris le véganisme, et le terme viande » comme un terme générique pour tout régime à base de produits animaux y compris le poisson. Comme le souhaiteraient Jacques Attali et Bill Gates, il est possible qu’un jour, pour des raisons médicales, climatiques, éthiques et spirituelles, nous abandonnions l’alimentation carnée. Mais avant de passer à l’acte, par mesure de précaution, afin d’être sûr de ne pas faire fausse route, assurons-nous d’abord que ce flip-flop radical de la viande au tofu est pleinement justifié. Raisons médicales Selon les chercheurs Frédéric Leroy et Nathan Cofnas, les études observationnelles utilisées pour élaborer les politiques alimentaires actuelles axées sur l’alimentation végétarienne sont trop souvent partielles et inexactes. Elles échouent très souvent, lorsqu’elles sont testées avec des essais randomisés contrôlés, l’étalon de référence. Elles sont un outil utile pour la génération d’hypothèses, mais, selon Leroy et Cofnas, leurs conclusions en tant que telles ne doivent pas servir à la mise en œuvre des politiques de santé en l’absence de justifications supplémentaires. Cela est particulièrement vrai, précisent les chercheurs Leroy et Cofnas, lorsque les résultats sont contre-intuitifs, comme c’est le cas pour la viande, étant donné sa longue histoire en tant qu’aliment essentiel dans l’alimentation de notre espèce. » De fait, le régime riche en gras saturés et en cholestérol n’est pas si mauvais pour la santé que le prétendent les végétariens. En effet, selon le collège des cardiologues américains, les aliments riches en acides gras saturés comme les produits laitiers entiers, la viande non transformée et le chocolat noir ne sont pas associés à un risque accru de maladies cardiovasculaires ». Une constatation étayée entre autres par une étude publiée dans The American Journal of Clinical Nutrition La Revue américaine de la nutrition clinique. Selon les données épidémiologiques actuelles, il n’existe par ailleurs aucun lien causal clair entre la consommation de viande rouge, par exemple, et les maladies chroniques comme le cancer colorectal. Selon les scientifiques Frédéric Leroy et Nathan Cofnas Le dossier scientifique contre la viande rouge du Centre international de recherche sur le cancer CIRC de l’Organisation mondiale de la santé OMS des Nations unies a été exagéré, rendant un mauvais service au public ». L’affirmation du CIRC 2015 selon laquelle la viande rouge est probablement cancérigène » n’a jamais été étayée. De fait, une évaluation des risques par Kruger et Zhou 2018 a conclu que ce n’était pas le cas. De plus, les données de l’anthropologie et de la biologie sont éloquentes, nous sommes des omnivores à forte tendance carnivores. Si nos ascendants du jardin d’Éden étaient herbivores, avec l’invention des outils il y a au moins 2,5 millions d’années nous avons en effet évolué vers un régime à base de viande. Nous sommes d’ailleurs merveilleusement bien adaptés, anatomiquement et physiologiquement pour manger de la viande. La consommation de viande a par ailleurs joué un rôle essentiel dans l’augmentation de la taille du cerveau des hominidés. Instinctivement, la viande et ses dérivés sont les aliments les plus recherchés des humains partout dans le monde. Et ce n’est pas un besoin d’origine culturelle qui peut être transgressé facilement ; c’est un besoin anthropologique voir ci-dessous. Six vérités sur les végétariens 1 La plupart des végétariens ne sont pas vraiment végétariens 66 % des végétariens » ont en effet mangé des produits animaux au cours des dernières 24 heures. 2 Les gens mentent à propos de leur consommation de viande les femmes à qui des chercheurs ont dit, en effet, qu’elles allaient regarder un film sur un abattoir ont menti sur ou, comme le dit l’étude, sous-déclaré stratégiquement » la quantité de viande qu’elles mangeaient. 3 84 % des personnes qui arrêtent de manger de la viande finissent par changer d’avis et retournent à un régime qui comprend des produits d’origine animale. 4 Des chercheurs britanniques ont découvert que seulement 25 % des personnes qui affirmaient avoir réduit leur consommation de viande l’ont fait. 5 Les végétariens dont une majorité sont des femmes souffrent souvent de dépression et de troubles de l’alimentation — selon certains scientifiques, le végétarisme serait un trouble occulte des conduites alimentaires. 6 Ça n’a pas toujours été le cas, mais le végétarisme est surtout une idéologie de la gauche, et c’est sans doute la principale vérité qu’il faut retenir de cette liste le végétarisme est un mensonge de la pensée libérale ». Certes, le fait que nous soyons biologiquement adaptés à un régime contenant une quantité importante de viande ne prouve pas en soi que les régimes végétariens sont malsains. Cependant, lorsqu’il s’agit de pratiquement toutes les autres espèces, nous tenons généralement pour acquis que le meilleur régime pour une espèce en captivité est celui qu’elle avait dans la nature. Et ce n’est pas un simple appel à la tradition. Les dérogations ne sont pas sans conséquence. Chez le chat, par exemple, il existe un lien incontestable entre le diabète et le pourcentage élevé de céréales dans la nourriture commerciale. Comment expliquer ce fait ? Eh bien le chat étant un pur carnivore, son organisme est incapable de métaboliser une si grande quantité de céréales. Et les humains ne font pas exception à ce principe. En raison de son importance démesurée accordée aux hydrates de carbone et aux céréales, des scientifiques ont fait un lien entre le fameux guide alimentaire de l’Université Harvard axée sur l’alimentation végétarienne et la source de l’épidémie d’obésité morbide et de diabète qui sévit actuellement aux États-Unis. Raisons climatiques N’en déplaise à Jacques Attali— qui déclarait face à Jean-Jacques Bourdin, si nous étions tous végétariens, le problème du méthane [des élevages bovins] serait réglé, ce qui représente 40 % des gaz à effet de serre » —, selon de nombreux climato-réalistes, il n’y aurait aucun lien entre les éructations et les flatulences de bovins et le réchauffement climatique puisque le réchauffement ou, selon la nouvelle dénomination en vigueur, le changement » climatique anthropique est un mensonge concocté par les mondialistes à des fins idéologiques et financières. De fait, selon entre autres La Pétition de l’Oregon, signée par 31 500 scientifiques de haut niveau dont 9 000 sont titulaires d’un doctorat en physique atmosphérique, en climatologie et en météorologie Il n’existe aucune preuve convaincante que les rejets de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre causent ou causeront dans un avenir prévisible un réchauffement catastrophique de l’atmosphère terrestre et une perturbation du climat de la Terre. De plus, il existe des preuves scientifiques substantielles selon lesquelles l’augmentation du dioxyde de carbone atmosphérique produit de nombreux effets bénéfiques sur l’environnement naturel végétal et animal de la Terre. À l’instar de la fausse étude de la revue The Lancet sur l’hydroxychloroquine, la même revue a rejeté la fausse étude EAT-Lancet financée entre autres par la Fondation Rockefeller, un membre éminent de la Société fabienne, l’un des piliers financiers de l’Agenda 2030 et de la Grande remise à zéro de l’ONU. Cette pseudo-étude recommandait un régime végétarien afin de réduire l’impact des pets » de bovidés et donc de la viande rouge sur le climat. Or, selon les chercheurs Frédéric Leroy et Nathan Cofnas Une réduction importante de la consommation de viande, comme celle préconisée par la Commission EAT-Lancet pourrait entraîner de graves dommages. La viande est depuis longtemps, et continue d’être notre principale source de nutrition de haute qualité. La théorie selon laquelle elle peut être remplacée par des légumineuses et des suppléments n’est que pure spéculation. Alors que les régimes riches en viande se sont révélés efficaces au cours de la longue histoire de notre espèce, les avantages des régimes végétariens sont loin d’être établis et ses dangers ont été largement ignorés par ceux qui les ont approuvés prématurément sur la base de preuves discutables. Raisons éthiques La souffrance des animaux est sans aucun doute le principal souci des végétariens, des antispécistes et des humains en général, notamment dans les pays occidentaux nordiques, car personne sauf exception ne veut faire souffrir un animal. Il est important que l’homme domine sur le bétail sur toute la Terre », nous sommes après tout des prédateurs nés, au sommet de la chaîne alimentaire, mais ce n’est pas un chèque en blanc. Nous nous devons en échange de traiter ce cheptel providentiel avec le respect qu’il mérite. Ce qui présuppose que les animaux soient élevés dans des conditions qui respectent leur besoin de socialisation, d’espace, d’air frais, d’eau et de nourritures saines. Chaque fois que c’est possible, évitez par conséquent les élevages concentrationnaires où les animaux sont élevés aux antibiotiques et aux additifs alimentaires avec un sadisme qui dépasse l’entendement même du point de vue productiviste. Vous vous porterez mieux et les animaux aussi. Il va sans dire dès lors que les abattages hallal et casher, deux traditions inutilement cruelles et irrespectueuses des animaux, n’ont pas leur place dans un pays civilisé comme le nôtre. Si les commandements sacrés ordonnent que le sang s’écoule de l’animal vivant, les méthodes modernes d’abattage avec étourdissement correspondent aux rituels religieux bien mieux que la méthode religieuse. Interdisons donc ces pratiques d’un autre temps comme l’a fait la Suisse en 1893 et plus récemment la Suède, le Danemark, la Slovénie et, en janvier 2019, la Belgique. Pour une meilleure prise en compte de la souffrance animale, construisons nos élevages et nos abattoirs sur le modèle préconisé par Temple Grandin, docteure zootechnicienne de renommée internationale. Si elle était un animal herbivore, déclare Temple Grandin, elle “préférerait mourir dans un abattoir” doté d’un système qu’elle a conçu pour rendre l’opération sans douleur, plutôt que dans la nature, en souffrant de la faim ou dans la conscience de l’attaque d’un prédateur au début de sa carrière, elle a vu dans un ranch en Arizona un veau toujours vivant partiellement dévoré par des coyotes, et en a conclu que “la Nature peut être très rude” ». De fait, la nature n’est pas un jardin d’Éden où, pour paraphraser la Bible, toutes les créatures sont réconciliées ; le loup habite avec la brebis ; le tigre repose avec le chevreau ; veau, lionceau, bélier vivent ensemble et un jeune enfant les conduit. Cette image idyllique véhiculée par les films de Disney, par exemple, n’existe pas. Dans la nature, c’est qui mangera qui, et dans cette jungle où règne la loi du plus fort, les bons sentiments et la notion de cruauté propre aux humains n’ont aucune place. Raisons spirituelles Il n’existe aucun lien entre la bonté d’une personne et le fait d’être végétarien. On trouve de tout dans ce domaine. Le Dalaï-Lama, par exemple, qui n’est pourtant pas une personne dénuée de bonté et de compassion, est un mangeur de viande. Alors que l’assassin Charles Manson était végétarien ! Les hindous, y compris les brahmanes, qui sont pourtant végétariens, sont d’une cruauté inouïe envers les animaux, autant la vache dite sacrée que les chiens et les chats. Même Gandhi ne parvint pas au nom de la bonté universelle à empêcher les laitiers hindous de laisser délibérément leurs veaux mourir de faim afin de vendre quelques litres de lait de vache supplémentaires », déplorait l’égérie du Front de libération animale Maximiani Portas dite Savitri Devi 1905-1982. On peut en dire autant de Brigitte Bardot qui fait la promotion tapageuse de la zoothérapie et des animaux de compagnie tout en cassant du sucre sur les éleveurs d’animaux de boucherie, alors qu’animaux de compagnie et animaux de boucherie, c’est bonnet blanc et blanc bonnet. Ce sont en effet tous les deux des animaux domestiques exploités par l’homme. Brigitte Bardot est pourtant bien placée pour savoir que la commercialisation massive des animaux de compagnie, stimulée par les observations anecdotiques du psychiatre américain Boris Levinson, qui sont devenues le leitmotiv de cette industrie, n’est pas sans conséquence sur les animaux de compagnie à tous les niveaux de la chaîne de consommation production, vente, entretien, réparation et recyclage. Conclusions Bien que la viande soit un élément central du régime alimentaire de notre espèce depuis des millions d’années, dans le cadre de l’Agenda 2030 et de la Grande remise à zéro, certaines autorités comme l’Europe de Bruxelles, l’ONU, les oligarques comme Jacques Attali et Bill Gates ainsi que les technocrates de Davos cherchent à la faire abolir. Mais les raisons évoquées par ces autorités n’ont absolument rien à voir avec la santé, le climat, l’éthique et la spiritualité, mais tout à voir avec des raisons financières et idéologiques ; elles sont en effet toutes acoquinées avec l’industrie des substituts de viande, les militants du mondialisme et du climat, du droit des animaux et d’autres formes de végétarisme idéologique, comme l’adventisme du septième jour. Les arguments contre le régime carné ne reposent sur rien de concret. L’affirmation selon laquelle la viande est un aliment malsain » n’est absolument pas étayée. L’élevage qui peut certes être polluant n’a aucun impact négatif sur le climat. Manger de la viande ne fait de vous ni un monstre sanguinaire ni un méchant suprématiste humain comme le prétend Ingrid Newkirk, la Brigitte Bardot du mouvement animalitaire américain People for the Ethical Treatment of Animals. Charles Danten Crédit photo Flickr cc protected]/48472193827 [cc] 2022, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
Un argument très fréquent pour végétarisme est la religion. Par exemple, c’est compulsoire pour être végétarisme comme tu es un Hindous. Beaucoup de personnes sont végétarisme parce qu’ils veulent protester contre les conditions d’élevage du bétail. Ceci probablement le raison principale pour les personnes deviennent végétariens. Certaines personnes deviennent végétarien parce qu’ils n’aiment pas la saveur de les viandes. Mon frère est un bon exemple. Quand il était plus jeune, il n’aime pas les viandes alors il était un végétarien. Finalement, nos famille converti-t-il, nous s’avons fait découvrir du poulet et il c’adore. Contre le végétarisme sont quelques arguments, mais les végétariens ont les meilleurs morals. Néanmoins, végétarisme est pas bien pour ton santé et ce crée un risque pour ton corps. Aussi, mon favori raison, un végétarien ne peut pas manger un sandwich lard, a mon avis, la plus succulente nourriture tout le monde. Cela terrible.
Ce jeudi, partout dans le monde, notamment en France et surtout à Lyon, on célébrera le Beaujolais Nouveau. Cette forte tradition avant tout locale rappelons pour les ignares et les nuls en géo que le village de Beaujeu est situé à 60km de Lyon possède autant d’adeptes que de détracteurs. Alors, doit-on fêter l’arrivée de cette nouvelle cuvée de Beaujolais, en 2013 ? On a posé la question à nos lecteurs via notre page Facebook et notre compte Twitter et avons sélectionné 3 arguments contre et 3 arguments pour. C’est dégueulasse ! “Je n’ai jamais compris pourquoi on faisait tout un foin pour ce vin très quelconque” On va pas se mentir, hein ! Le Beaujolais n’est pas un grand vin. Pourquoi faire la fête pour un vin qu’on commande en pot quand on se fait un bistro le midi ? Le coup de la banane “Alors que la situation économique du pays s’aggrave de jour en jour. Il inquiétant de voir autant de gens s’interroger pour savoir si le Beaujolais Nouveau a un gout de framboise ou de banane plutôt que de trouver des solutions au chômage et à la misère…” Franchement avez-vous déjà senti un gout de banane dans du vin ? On a parfois un peu du mal à comprendre l’engouement autour du Beaujolais Nouveau et cette nécessité de savoir quel gout il a. Mais bon tout le monde en parle et ce vendredi, à la machine à café, la traditionnelle question “Tu fais quoi ce week-end?” sera remplacée par “Alors il a quelque gout le Beaujolais ?”. Une beuverie marketée “Le marketing récupère tout ! Il fallait bien qu’il fasse quelque chose autour des beuveries en groupe. Des gens avec des diplômes ont baptisé ça le Beaujolais Nouveau. Ca reste toujours aussi alcoolisé, mais il y a maintenant un concept derrière. En plus il y a un coté terroir, les bobos sont ravis.” La tradition du Beaujolais Nouveau n’est plus ce qu’elle était. Quand on voit les rayons des supermarchés plein de bouteilles et les japonais s’enthousiasmaient pour ce vin médiocre, on se dit que tout ça est allé beaucoup trop loin pour ce qui était au départ une simple dégustation de vin primeur. Pour le Beaujolais Nouveau La tradition “Oui c’est devenu très marketing, mais c’est aussi l’occasion de faire la fête avec ses collègues et ses potes. Bref ça crée du lien, c’est ce qui importe le plus” L’hiver approche, l’ambiance est maussade… Un petit coup de Beaujolais et ça repart ! Le Beaujolais est un vrai bon moment partagé, alors même si c’est un peu commercial, on aurait tort de s’en priver. Les trucs à coté “Le Beaujolais Nouveau n’est qu’un prétexte. Le mieux reste encore le fromage fort tartiné sur du pain frais grillé et quelques bonnes tranches de saucisson artisanal.” Le Beaujolais Nouveau, c’est aussi l’occasion de se rappeler comme si on pouvait l’oublier tous les bons produits que propose la région lyonnaise. Alors, on se lâche sur le fromage et la charcuterie ! Le bon Beaujolais “Les gens qui trouvent le Beaujolais Nouveau dégueulasse sont toujours ceux qui achètent leurs bouteilles au supermarché. Coïncidence ?” Il ne faut pas vous s’étonner que votre bouteille achetée au Franprix pique un peu. Le Beaujolais Nouveau est un bon vin pour peu qu’on se donne la peine de faire un petit effort. L’idéal est d’aller le chercher directement sur place auprès d’un petit vigneron qui vous filera quelques bouteilles avant le jour J. Et vous ? Choisissez votre camp ! Donnez votre avis dans les commentaires en inscrivant “pour” ou “contre” en début de votre message. Les bons plans de CityCrunch pour le Beaujolais Nouveau Nous ne pouvions pas finir cet article sans quelques bons plans Beaujolais Nouveau Dès ce soir, à la Confluence ! Le Beaujolais Nouveau c’est ce mercredi à minuit. Mais les festivités commencent dès 19h à la Confluence avec un apéro géant. Au programme roulé de tonneaux, show pyrotechnique, bouffe, DJ et bien sûr perçage de tonneaux et dégustation aux 12 coups de minuit. C’est GRATUIT ! Plus d’info Ce jeudi, en mode solidaire On peut picoler et sauver le monde, si, si. La preuve avec la soirée Beaujolais Nouveau organisée par l’Entraide Protestante L’association fournit vêtements, nourriture, aide, garde aux plus démunis, sans distinction de clivage religieux ou autre. Tous les bénéfices seront reversés aux plus démunis. Plus tu bois avec modération ou quelqu’un d’autre plus tu aides les gens. C’est pas beau ? Ca se passe au 12 rue Corneille, dans le 3ème arrondissement de 18h30 à 20h Plus d’info On vous souhaite un très bon Beaujolais Nouveau 2013 et vous rappelle que l’abus d’alcool est dangereux pour la santé. Véritable gardien du temple à l’origine de CityCrunch cela fait bien longtemps qu’il a perdu la clé et laisse entrer tout le monde. Accro à la street food, aux jeux vidéo rétro et aux sports de glisse, Qyrool voue une passion secrète pour les Lego. ➔ Suivez Qyrool sur Instagram. Trouvez d'autres articles qui parlent de Beaujolais nouveau Un dernier article pour la route Quoi?! Vous ne suivez pas encore Lyon CityCrunch sur Instagram? Oh lala ! C'est par ICI.
Un Blog pour réfléchir aux arguments souvent entendus contre le végétarisme Pour celles et ceux qui seraient tentés... RetourCliquer sur l'image
Ma propre expérience inclut celle de mes clients et des tonnes de rechercheApparemment, je me jette sur les steaks saignants… 😉Viande rouge, gras saturés et santé ou comment ne PAS interpréter les études épidémiologiques…Le paléo augmente le mauvais cholestérol….? et le BON !Et le poisson ? il est en fait plus risqué de ne pas en mangerJe ne suis pas une adepte du régime paléo »Comment choisir des protéines durablesManger de la viande est compatible avec le respect des animauxOui, nous avons évolués AVERTISSEMENT Ce billet est très L – O – N – G car j’ai vraiment un gros dédain pour la mésinformation et je tenais à mettre tous les points sur les i. 😉 Pour vous mettre en contexte, j’ai accepté de participer à un article pour ou contre le végétarisme cliquez ici pour le lire dans le magazine québécois Véro » automne 2014. Suite à la parution de ce débat, Mme Desaulniers a écrit une réponse sur son blog. Vous pouvez la lire en cliquant ici. Mon temps est très précieux et je n’aime habituellement pas me lancer dans des débats avec des gens qui manquent clairement d’ouverture d’esprit, mais son article m’a vraiment dérangée pour plusieurs raisons son ton condescendant, son attitude supérieure, ses accusations personnelles et, plus que tout, plusieurs faits omis. C’est assez pour que je prenne de mon temps pour écrire une réponse. Je ne tiens pas nécessairement à ce que Mme Desaulniers la lise, car je sais qu’il n’y a rien que je ne pourrais dire qui ne la ferait changer d’idée, mais je veux que vous, mes chers lecteurs, ne vous sentiez pas attaqués comme moi par ses propos. Pour ce faire, je vais tirer quelques lignes de son billet pour y répondre directement. Ma propre expérience inclut celle de mes clients et des tonnes de recherche Premièrement, elle m’introduit ainsi À droite, Aglaée Jacob, qui détient un bac et une maîtrise en nutrition, défend le point de vue contraire à partir de sa propre expérience ». Je voudrais seulement dire que mon point de vue ne vient pas seulement de ma propre expérience, bien qu’elle y compte certainement. Mon point de vue vient également de centaines d’heures de recherche approfondie sur le sujet dans la littérature scientifique ainsi que l’expérience de centaines de clients avec qui j’ai travaillé dans les dernières années. Apparemment, je me jette sur les steaks saignants… 😉 Sur un ton passif agressif, elle continue J’aurais bien aimé en savoir davantage sur la santé déclinante de madame Jacob lorsqu’elle était végée. Qu’est-ce qu’elle mangeait ? Qu’est-ce qui manquait ? A-t-elle essayé de modifier ses habitudes avant de se jeter sur son steak saignant ? ». Cette information n’est pas difficile à trouver. J’ai partagé de façon très ouverte mes problèmes de santé sur d’autres platesformes. Pour ceux qui ne le savent pas, j’ai souffert de problèmes digestifs chroniques, mais je l’attribue à une infection gastro-intestinale que j’ai attrapée lors de mes voyages, pas à une alimentation végétarienne. Mais je peux dire que c’est en faisant la transition à une alimentation paléo que j’ai pu retrouver le contrôle de mes symptômes intestinaux suite au développement de syndrome de l’intestin irritable post infectieux. Toutefois, je peux véritablement dire que j’ai souffert d’un manque d’énergie et danémie difficile à corriger même pour une nutritionniste et même avec supplémentation en étant végétarienne, problèmes qui se sont envolés dès que j’ai commencé à manger paléo. J’ai aussi été diagnostiquée avec le syndrome des ovaires polykystiques SOPK, un problème qui représente la plus grande cause d’infertilité chez la femme et qui peut être aggravé par une alimentation riche en glucides et pauvre en gras tel que l’alimentation végétarienne l’est. Manger paléo m’a permis de contrôler mes hormones, réduire mon nombre de kystes sur les ovaires de plus de 70 % et de devenir fertile pour maintenant avoir un petit garçon en bonne santé. 🙂 Viande rouge, gras saturés et santé ou comment ne PAS interpréter les études épidémiologiques… Elle mentionne ensuite Selon Aglaée Jacob, aucune étude ne prouverait que la viande rouge et les gras saturés peuvent être néfastes sur la santé et causer certains cancers. Pourtant, pas besoin de chercher bien loin pour se convaincre du contraire » et donne quelques exemples. Premièrement, je n’utilise pas de site de vulgarisation scientifique auquel elle réfère dans son billet et préfère plutôt aller directement à la source. Ce n’est qu’en lisant les études scientifiques, leurs méthodologies et leurs résultats qu’on peut avoir l’heure juste ne lire que les résumés est une des raisons pourquoi la nutrition est un sujet très controversé dans les médias…!. J’ai bien lu les études mentionnées. Le problème est que ce sont des études de type épidémiologique… Il est bien connu dans le domaine des sciences et des statistiques que ce genre d’étude ne devrait JAMAIS servir pour faire des recommandations ou tirer des conclusions. Ça ne permet que d’obtenir des hypothèses pour faire des études cliniques par la suite. Les corrélations qui y sont trouvées ne devraient JAMAIS être interprétées comme étant une relation effet-cause, car nous n’en avons absolument aucunes idées. Par exemple, si je vous dis qu’il y a beaucoup de camions de pompiers aux sites d’incendie, le type de corrélation qu’on pourrait facilement trouver avec un type d’étude épidémiologique, ça ne veut pas dire que les camions de pompiers causent les incendies… vous êtes d’accord ? C’est la même chose avec les études en nutrition. De plus, souvent les études épidémiologiques utilisent des questionnaires demandant aux gens de se rappeler ce qu’ils ont mangé dans la dernière année à l’aide d’un questionnaire de fréquence alimentaire… pas très précis à mon avis comme méthodologie ! Souvent, la pizza et autre junk food sont interprétées comme étant de la viande rouge à cause de son pepperoni et le poids de l’aliment en entier est inclut dans la quantité de viande rouge consommée… Ça vous paraît honnête ? Et il ne faut pas oublier qu’aucunes de ces études ne fait la distinction entre les gens qui mangent de la viande de pâturage avec une grande quantité de légumes tout en faisant attention à leur santé et les gens qui mangent leur viande entre deux tranches de pain hamburgers avec une boisson gazeuse et des frites cuites dans de l’huile végétale rancie. Bref, je ne veux surtout pas utiliser ces études pour tirer mes conclusions. Pour ce qui est de la controverse » des gras saturés, hé bien ça ne devrait vraiment plus être une controverse… Encore une fois, les gras saturés ont été diabolisés depuis des décennies mais les raisons sont beaucoup plus de politiques que scientifiques lisez Good Calories, Bad Calories si vous comprenez l’anglais pour une analyse méticuleuse avec des centaines d’études à l’appui si vous voulez en savoir plus. Une des récentes preuves les plus convaincantes quant à l’innocuité des gras saturés est parue dans The American Journal of Clinical Nutrition en 2010 lire l’étude ici. Cette méta-analyse une étude regardant toutes les études faites sur un sujet donné inclut 347 747 participants suivis pour des périodes de 5 à 23 ans et montre clairement qu’il n’y a AUCUNE association entre la consommation de gras saturés et le risque de maladies cardiovasculaires et d’AVC. Cette étude n’est qu’un exemple, mais il y en a beaucoup d’autres menant aux mêmes conclusions. Même le Times Magazine s’est pratiquement excusé, près de 30 ans après son article diabolisant le cholestérol et les gras saturés, avec un article montrant toute la science moderne qui confirme que le beurre n’est pas l’ennemi le véritable ennemi est le sucre !. Le Time magazine en 1984 Le Time magazine en 2014! 🙂 Le paléo augmente le mauvais cholestérol….? et le BON ! Finalement, pour ce qui est de l’augmentation de cholestérol observée après l’adoption d’un régime paléo… et bien oui, c’est parfois vrai ! Encore là, il ne faut pas s’arrêter à l’article vulgarisé en hyperlien dans son article mais il faut aller à la source article scientifique original ici. Les 44 participants en bonne santé ont suivi un régime paléo pendant 10 semaines. Résultat oui, leur mauvais » cholestérol LDL encore une fois les termes mauvais et bon cholestérol sont très simplifiés et ne représentent pas toute l’histoire ! a augmenté… et bien que le résultat soit statistiquement significatif panimal n’est plus à démontrer. Ça prend beaucoup plus de terres arables pour nourrir un omnivore que pour nourrir un végétalien donc une alimentation qui inclut de la viande contribue énormément plus à la déforestation, aux gaz à effet de serre, et à n’importe quel autre impact environnemental qu’une alimentation végétalienne. Je ne peux pas m’avancer dans le débat sur la nutrition, qui est très complexe, mais vous n’avez clairement pas fait vos devoirs sur la question environnementale Mme Jacob. Je vous recommande fortement de vous informer davantage à ce sujet, notamment en visionnant le documentaire Cowspiracy » Éric Ménard, M. Env. Bonjour M. Ménard, Avez-vous lu mon billet? Je sais qu’il est un peu long mais il est préférable de faire ses devoirs avant de commenter. p Je suis tout à fait d’accord avec vous que la viande conventionnelle nourrie de céréales n’est pas la solution. C’est pour ça que je n’en mange pas et ne le recommande pas non plus. Comme je le mentionne dans mon billet, j’encourage les gens à manger de la viande de pâturage qui ne requiert aucune céréale et aide même à rebâtir la couche de terre arable qui s’effrite dû à l’agriculture moderne. Plus de détails ici Aglaée Jacob, MS, RD Je ne vois nulle part dans ce que vous recommandez une quelconque preuve que la production de viande de pâturage nécessite moins d’espace terrestre que la production de protéines végétales… Et la démonstration que vous citez qui est supposée prouver qu’une alimentation végane tue plus d’animaux que la consommation d’animaux d’élevage ne tient absolument pas la route. If half of the total harvested land in the US was used to produce plant products for human consumption and half was used for pasture-forage production, how many animals would die annually so that humans may eat? 60 million ha, plant production × 15 animals/ha = billion 60 million ha, forage production × animals/ha = billion Total billion animals According to this model then, fewer animals billion would die than in the vegan model billion » Cette démonstration s’appuie sur l’idée que ça prendrait le même nombre d’hectares de production végétale pour remplacer les pâturages. Comment peut-on se baser sur une telle hypothèse sans données concrète à l’appui? Et ça, c’est si l’on considère valide l’hypothèse que la production végétale tue plus d’animaux à l’hectare que les pâturages, ce dont je doute fortement. Comme preuves de production végétales meurtrières », il est fait référence notamment à la luzerne, le blé et la canne à sucre. Je ne savais pas que les protéines animales étaient remplacées par de tels aliments dans une alimentation végane, ni même qu’une alimentation omnivore de pâturage ou non excluait la consommation de ces aliments… Rebonjour! 1 Je suis d’accord que le blé, la luzerne et la canne à sucre ne constituent pas la seule source de nutrition pour les végétariens et végétaliens. J’imagine que l’auteur a utilisé les cultures pour lesquelles ces données étaient disponibles. À mon humble avis et avec mon expérience de plusieurs années de vie à la campagne et sur une ferme, j’imagine que le nombre d’animaux, de reptiles et d’oiseaux tués avec la culture du soya, du maïs, de légumineuses et des autres céréales est similaire. 2 Pour ce qui est de la diète que je recommande, le mode d’alimentation paléo, il exclut ces cultures blé, canne à sucre, légumineuses, soya, maïs et autres céréales bien que ce soit une diète de type omnivore. Et la viande que nous mangeons n’est que nourrie à l’herbe ce qui ne contribue également pas à encourager ces cultures. 3 Je ne suis pas certaine de comprendre ton acharnement par rapport à la superficie occupée par la culture de céréales versus celle occupée par des animaux de pâturage. Je ne sais pas si ces données existe, probablement que oui, mais je ne les ai pas. Et ce serait passer à côté de la question. Une ferme holistique utilise une rotation entre l’élevage d’animaux et de culture de légumes. La superficie occupée par les grandes mono-cultures de céréales et de légumineuses a un impact tout à fait différent sur le sol, l’environnement et la santé des animaux et des gens qui les consomment comparativement à la même superficie occupée par une ferme biologique gérée de façon holistique et biodynamique. Visiter une ferme de ce type plutôt que d’essayer de trouver des études scientifiques est souvent la meilleure façon d’y voir plus clair. Et lorsque ma famille achète un quart de boeuf et que ça nous nourrit pour 3-4 mois, ça ne fait qu’ 1/4 de vie pour nourrir. Et en choisissant du boeuf de pâturage, je ne contribue pas à plus de morts indirectes résultant de l’agriculture moderne. Voilà mon avis! Aglaée Bonjour, 🙂 J’ai lu avec attention votre article, et il me fait réfléchir. Je suis végétarienne depuis plusieurs années, mais je considère mon choix comme personnel et reste convaincu que l’Homme est fait pour manger de la viande. Je suis depuis quelques temps très attirée par l’alimentation paléo, mais j’aimerai l’adapter à mon végétarisme. Je pense qu’il doit exister dans le monde des tribus végétariennes, alors peut-être qu’avec tous les aliments auquel nous avons accès, il est possible d’être végétarien et d’avoir une alimentation qui s’approche du paléo. Depuis quelques semaines, je fais un paléo à ma sauce, je voulais savoir ce que vous en pensiez ce n’est pas vraiment du paléo mais ça tend vers une alimentation plus naturelle. Je consomme bien sur beaucoup de légumes, des fruits, des oeufs bio, des graisses comme l’huile d’olive, la creme de coco, le tahin, les noix, mais aussi des produits à base de soja tels que le tempeh, le tofu, le lait et les yaourts de soja, les fromages au lait cru de chèvre et de brebis que je tolère sans problème. Pour l’instant il m’arrive encore de consommer les aliments suivants, mais 1 jour sur 2 flocons d’avoine, riz complet, quinoa, pain de seigle, pâtes complètes, sarrasin, lentilles, haricots, pois chiche, pois cassés, beurre de cacahuètes naturel, chocolat noir, miel. Qu’en pensez-vous? 🙂 Merci de votre réponse! PS encore une fois, je ne pense pas que vous faites mal en consommant des animaux, ma raison est purement personnelle, cependant j’ai dévellopé des SOPK moi aussi, et je pense qu’une alimentation plus basique me ferait du bien. Bonne journée! Bonjour Elsa, Je suis bien heureuse de lire ton commentaire et de voir que tu es prête à intégrer certains aspects du paléo à ton alimentation. 😉 Je crois que les aliments que tu inclues sont très bien et je suis contente que tu choisisses certains produits animaux de qualité, tels que les oeufs et certains produits laitiers. Je ne suis pas une fan du soya pour des raisons que j’expliquerai plus en détails ailleurs c’est dans le livre aussi et dans les autres aliments, je t’encouragerais à faire un peu de rechercher sur chacun de ceux-ci. Le miel et le chocolat noir ne me causent pas trop de problèmes, mais les autres aliments ne sont pas optimaux pour tous. Je ne peux pas vraiment donner de réponses précises sans faire une évaluation plus approfondie de ta condition mais j’ai garder tes questions en banque pour y répondre plus en détails de façon anonyme dans un prochain épisode FAQ de la radio paléo en mai ou juin 2015. Alors surveille les prochains épisodes 😉 Aglaée merci de votre réponse si rapide! Déjà, mon petit déjeuner paléo me ravi, omelette aux légumes, avocat, myrtilles 🙂 Tous comme les noix au gouter! particulièrement les noix de macadamia et les noix de grenoble, de cajou. Bonne journée 🙂 Bonjour, je commence à m’intéresser au régime paléo, car j’ai de gros problèmes digestif que je n’arrive pas à régler depuis quelques années; j’ai lu un poste dans lequel était écrit que les noix sont exclus du régime ainsi que les fruits et recommande finalement peu de légumes; quand pensez vous? pouvez vous me conseiller? merci; belle soirée Laisser un commentaire
10 arguments pour et contre le végétarisme